Il y a des jours comme çà...

05/11/2017 à 09:03

Le Paris-SG s’est imposé 5-0 à Angers samedi en début de soirée, une performance où les Parisiens ont encore impressionnés à l'image d'Edinson Cavani, d'Adrien Rabiot ou encore de Kylian Mbappé.

Il y a des jours comme çà...

En 1982, année du premier trophée remporté par le Paris-SG, Nathalie Lermitte chantait : Il y a des jours comme çà... Et ça disait à peu près ceci : « Il y a des jours comme ça Des jours qui font rêver Des jours qui donnent envie de rire Envie d'aimer Il y a des jours comme ça Où tout nous tend les bras Des jours pleins de joie Des jours où tout le monde s’aime… » C’est ce qui s’est passé, samedi à Angers. On attendait Paris et on a vu Paris. Les joueurs du PSG se savaient observés, scrutés, leur performance décortiquée, ils ont répondu présents de la plus belle des manières en livrant un véritable récital. Je vais donc prolonger le plaisir ce matin... en mettant en avant ceux qui m’ont régalé au stade Raymond-Kopa. En premier lieu Edinson Cavani !! Plus de doute, ce joueur, c’est la classe mondiale. Il est le vrai taulier du PSG. C’est un formidable compétiteur, un immense buteur, déjà 101 buts inscrits avec Paris. J’ai adoré son agacement lors de sa sortie prématurée. Avec Cavani, Paris peut voyager loin ! Vous ne serez pas surpris que je mette en avant mon chouchou Adrien Rabiot ? Il joue de plus en plus juste, il est meilleur à chaque sortie, et il est tellement bon comme sentinelle qu’il nous en ferait oublier qu’il est un formidable relayeur. Il n'y a plus qu’à le convaincre... Enfin Kylian Mbappé, on le disait moins bon, en proie au doute… je vous laisse juste imaginer… Miguel ce que ça donnera lorsqu’il sera en forme… Ah oui au fait, je ne vous ai pas dit : en 1984, Daniel Alvès, lui aussi impressionnant à Angers, avait un an et Nathalie Lermitte assurait, avec Herbert Léonard, la première partie du spectacle de Michel Leeb à l'Olympia. Nathalie si tu m’entends… Bref, il y a des jours comme ça… Décidément, on fait pas des métiers faciles mais on rigole bien…

Stéphane BITTON.

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