Trois ouragans nommés : Kylian, Edinson et Neymar

10/09/2017 à 08:15

Pendant qu’Irma, José et Katia, les trois ouragans qui ont ravagé Saint-Martin, Saint-Barthélémy et la Guadeloupe, poursuivaient leur parcours dévastateur, on signalait la présence dans l’Est de la France, et plus précisément à Metz, d’un phénomène identique, mais à l’échelle du football.

Trois ouragans nommés : Kylian, Edinson et Neymar

Trois ouragans, connus sous le nom de K.E.N., Kylian, Edinson et Neymar, ont frappé à plusieurs reprises, causant leurs premiers dégâts sur une pelouse de Ligue 1. Pour les experts les plus pointus en matière de météo footballistique, le phénomène jusqu’à présent inconnu en France, risque de faire la pluie et le beau temps partout où il passera cette saison. On signale d'ailleurs que les gardiens et les défenseurs les plus expérimentés de Ligue 1, sont en mode dépression, craignent de prendre des vents et attendent fébrilement une éclaircie. Mais aucun doute, ces perturbations n’en sont qu’à leurs débuts, et les supporters des quatre coins de la France sont prévenus, ils devront sortir couverts « façon tempête ». Et pas le genre de crachin qui donnerait le mal de mer à un marin d’eau douce. Non, je vous parle de la force 5 sur l’échelle de Richter qui a soufflé à Metz ce week-end, celle qui ravage tout ou presque sur son passage. Je connais d'ailleurs des supporters du PSG qui invoquent déjà les dieux du football pour que les mêmes tourbillons, et les même vents, soufflent dimanche prochain, sur le Parc des Princes face aux Lyonnais. Certains ont même des visions continentales et n’hésitent pas à se projeter sur toute l’Europe, en imaginant la tornade Kylian, Edinson et Neymar, entrainer de fortes précipitations sur Madrid, Barcelone, Manchester ou Munich. Pour l’ancien que je suis, un tel phénomène est inédit en France.Nous saurons, dans les semaines et les mois à venir, si nous avons affaire à un simple changement climatique ou à un véritable dérèglement. Décidément, on ne fait pas des métiers faciles, mais on rigole bien.

Stéphane BITTON.

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